Là, ou la vague s’évague
(Au bord de la mer)
Viens, viens que je te dise,
Ce que j’ai trouvé au dessous de la pierre.
au bord de la mer.
Une âme pleine de crève-cœur.
Qui gémit
Qui gémit chaque fois que la vague s’évague
Viens que je te dise
Ce que j’ai trouve la où s’achèvent les rêves
Là où les illusions se transforment en femmes de chœur
Viens que je te dise.
L’âme sourit, en gémissant elle se caresse.
Elle gémit et rampe.
Sous le soleil d’août elle récupère.
Sous le soleil d’août elle guérit.
Jusqu'à ce que le vent glacial revienne
Viens que je te dise,
J’ai trouve l’âme éternelle
à se baigner sereine sous cette vague.
Autant mes pas amènent leur bruit,
Je l’admire et je m’exquis devant sa grâce.
Et je désire tellement pencher mon corps indemne, là ou la vague s’évague,
au bord de la mer.
Stavroula Gatsou
(poem ecrit en grec traduit en francais)
(Au bord de la mer)
Viens, viens que je te dise,
Ce que j’ai trouvé au dessous de la pierre.
au bord de la mer.
Une âme pleine de crève-cœur.
Qui gémit
Qui gémit chaque fois que la vague s’évague
Viens que je te dise
Ce que j’ai trouve la où s’achèvent les rêves
Là où les illusions se transforment en femmes de chœur
Viens que je te dise.
L’âme sourit, en gémissant elle se caresse.
Elle gémit et rampe.
Sous le soleil d’août elle récupère.
Sous le soleil d’août elle guérit.
Jusqu'à ce que le vent glacial revienne
Viens que je te dise,
J’ai trouve l’âme éternelle
à se baigner sereine sous cette vague.
Autant mes pas amènent leur bruit,
Je l’admire et je m’exquis devant sa grâce.
Et je désire tellement pencher mon corps indemne, là ou la vague s’évague,
au bord de la mer.
Stavroula Gatsou
(poem ecrit en grec traduit en francais)
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